iwantmyhomepaidwithbtc2 was right. In the /media folder I found the disks. Linux is so different from Windows. I didn't know that.
I also moved the chainstate folder from HDD to SDD and created a symlink. Now it's downloading twice faster.
I'm grateful to everyone who help me on this topic.
Cheers!
I'm glad to hear that everything's okay now! You did the right thing moving chainstate. If you want to learn more about the Unix file system, this article is cool : https://www.geeksforgeeks.org/unix-file-system/ |
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Thank you both, guys! You did an excellent job! Your dedication is outstanding!
Thank you GazetaBitcoin  I really enjoyed translating your topics, I learned a lot of things! |
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craig wright reconnu par la justice comme le créateur du bitcoin et remporte 54milliards. lienC'est vieux non ? Publié le 08/12/2021 à 19:42 - Mis à jour le 08/12/2021 à 19:42 |
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Summary of Bitcoin Price Predictions October --snip-- Well done! I just checked briefly, but as I see, the winner will probably be GazetaBitcoin , bitzizzix or hosseinimr93  |
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black-out sur Gaza
plus de reseau internet ni de téléphone, et c'est pas juste éteindre les bouttons. ils ont complètement détruit les câbles et les tours de téléphonie cellulaire
maintenant que 2 porte avions sont pas loin, ca va vraiment commencer.
Le roi du macronistan "estime que le conflit va durer"
Starlink entre dans la partieBon c'est pas prêt d'arriver, mais si Israël a eu le droit de revendre Pegasus aux pires dirigeants de la planète, pourquoi Musk devrait se priver?  |
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Sherbet username: ilovebtc
Prediction: $ 33,940.02
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https://ibb.co/3RL6kvp - This is what is displayed. https://ibb.co/Xxpk01HI don't have /media (or at least I don't see it). In the "Look in" window is just "Computer" (where linux is installed). And in the left windows is "Computer" and User (/home/user). Dragos in my case. The HDD's are not displayed. I don't know commands in linux, like lsblk, that's why I asked a step-by-step solution. Because I'm new in linux. Thanks. You just need to open a Terminal and type : This command will show you the exact path to find your external HDD. More information here : lsblk lists information about all available or the specified block devices. The lsblk command reads the sysfs filesystem and udev db to gather information.
The command prints all block devices (except RAM disks) in a tree-like format by default.
Use lsblk --help to get a list of all available columns.
On your first screenshot, if you click on / You will get a list of folders. Inside this list you have a folder named media. This folder is where you can find your HDD, USB sticks etc.. So from your Screenshot number 1, I would click on / media Dragos name of your HDD (which can easily find with the help of lsblk mentioned above |
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This should work too. The important part is to have those groups reported. Eventually, the reports could contain also links to UniJoin's website, /en/contact]Contact section, as there is visible the official Telegram name of UniJoin, thus ensuring Telegram that the other group is fake. (At least, this is what I did when I made the report.) I agree with you. It's important to include official links so that the agent handling the report owns all the necessary information. I've saved on my device a little copy/paste message to mass-report these groups: This group is a scam, impersonating [banned mixer]
The real Unijoin website is: https://[banned mixer]/
The contact page (with their official networks at the bottom of the page) is: https://[banned mixer]/en/contact
The official Unijoin Telegram channel is: t.me/unijoin
Thank you for taking the time to delete this fraudulent group. |
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Auteur : GazetaBitcoinTexte original : Governs' oppression of bitcoiners may turn against them
Les gouvernements oppriment les bitcoiners depuis plus d'une décennie maintenant. Sachant que les bitcoiners gagnent de la vraie monnaie fiduciaire grâce à leurs transactions en cryptomonnaies, les gouvernements du monde entier ont commencé à extorquer les bitcoiners, pour leur prendre l'argent qu'ils ont gagné sans que l'État ne les aide d'aucune manière. Les gens travaillent, sont payés pour leur travail, mais l'État veut sa part.L'oppression s'est accrue au fil du temps. Pour pouvoir contraindre les gens à payer, les gouvernements du monde entier ont créé des lois qui n'existaient pas auparavant, en essayant de centraliser ce qui devait être décentralisé. Et les gens, par avidité, ont aidé l'État à les extorquer encore plus. Prométhée a donné le feu aux gens pour qu'ils réchauffent leurs maisons et préparent la nourriture, mais les gens l'ont utilisé pour mettre le feu aux maisons de leurs voisins. De la même manière, Satoshi a donné le bitcoin gratuitement aux gens, pour les aider à se débarrasser de l'esclavage imposé par les gouvernements et les banques, pour effectuer des transactions peer-to-peer, sans l'intervention d'une tierce partie, mais les gens, et leur appât du gain, ont créé des plateformes d'échange de cryptomonnaie centralisés. Certains opportunistes ont cru qu'ils s'enrichiraient en exploitant de telles plateformes. L’un d’entre eux est Charlie Shrem ( Yankee (BitInstant)). C'était un jeune enthousiaste qui a adopté Bitcoin alors qu'il était à l'université. Plus tard, il a lancé BitInstant, l'une des exchange de cryptomonnaies qui, à un moment donné, effectuait environ 30 % de toutes les transactions en bitcoins. Plus tard, il se retrouvera en prison pour avoir aidé et encouragé l'exploitation d'une entreprise de transmission de fonds non agréée. On l'appelait également " Bitcoin's first felon" ou en français, " Le premier criminel du Bitcoin". Depuis l'affaire Shrem, les gouvernements ont commencé à se montrer encore plus stricts à l'égard des bitcoiners. Un article de 2018 nous informe que " Le dénommé "expert du Bitcoin", qui a admis avoir exploité une entreprise non agréée d'échange de bitcoins contre de l'argent liquide et avoir blanchi des bitcoins[…] a été condamné aujourd'hui à 12 mois et un jour de prison fédérale, à trois ans de liberté surveillée et à une amende de 20 000 dollars.".
Les plateformes d’échange sont montées en flèche, tout comme leurs utilisateurs, sans comprendre qu'elles agissaient à l'encontre des grands principes de Bitcoin : le peer-to-peer, l'anonymat, le pseudonymat et l'élimination des intermédiaires. De nouvelles lois sont apparues en même temps que les exchangers de crypto-monnaies, et elles les ont obligé à imposer le KYC à leurs clients. L'avidité des gens les a conduits à : - risquer leur argent détenu dans les plateformes, car ils n'étaient pas en possession de leurs clés privées - risquer leur argent, car de nombreuses plateformes ont été piratées. - risquer leurs données et infos personnelles, car de nombreuses plateformes ont été piratées ; et les pirates ont utilisé les informations personnelles des clients ou les ont même vendues sur le dark web (ce qui a entraîné encore plus de risques pour ces personnes, car vous ne pouvez jamais savoir quand un criminel se présente à votre porte et vous vole, après avoir acheté toutes vos informations personnelles pour 1$ sur le dark web). - risquer leur argent, car de nombreuses plateformes ont tout simplement gelé leurs comptes - risquer leur argent, car de nombreuses banques ont gelé leurs comptes après avoir découvert que l'argent provenait de transactions crypto. - risquer leur argent et aussi leur liberté, dans le cas où ils ne respectaient pas les nouvelles lois émises par le gouvernement. Pourtant, seuls quelques-uns ont retenu la leçon. Peut-être ceux qui étaient avisés et ceux qui ont dû vivre au moins l'une des situations mentionnées ci-dessus. Et, au fil du temps, les "lois cryptos" deviennent encore plus sévères et plus complexes. Dans de nombreux cas, elles sont également ridicules ou soulèvent davantage de questions auxquelles personne ne répond. Par exemple, en Roumanie, la première loi sur les crypto-monnaies a été publiée en 2019 mais, jusqu'alors, vous couriez le risque d'être accusé d'évasion fiscale, d'avoir un casier judiciaire ou même d'être condamné à une peine de prison pour ne pas avoir déclaré la monnaie fiduciaire obtenue grâce à des transactions en crypto-monnaies, bien qu'il n'y ait pas de cadre juridique. Les comptables ne savaient pas comment déclarer ces revenus de leurs clients et les autorités ne savaient pas comment répondre aux questions des gens. Après la publication de la loi, début 2019, les bitcoiners ont dû payer un impôt de 10 % sur les bénéfices qu'ils avaient réalisés l'année précédente. Et, si leurs bénéfices étaient supérieurs à 12 salaires minimums, ils étaient censés payer également 10 % du montant de ces 12 salaires minimums. Cet impôt secondaire était accordé au système de santé. Ceux qui ont enregistré des pertes l'année précédente ne sont pas censés payer quoi que ce soit. Pourtant, la loi n'est pas claire. Que devrait faire un mineur ? S'il a réalisé des bénéfices l'année précédente, mais que le matériel qu'il a acheté est loin d'être remboursé, le mineur est-il en perte ou en bénéfice ? Et que se passe-t-il pour les mineurs qui n'ont plus les factures de leur équipement ? Personne ne le sait. À l'avenir, de nouvelles taxes pourraient voir le jour. Encore plus complexes, plus ridicules. Dans tous les cas, Bitcoin n'a pas été conçu pour cela. Il n'a pas été créé pour donner plus de soucis aux gens, ni pour les mettre en prison au cas où ils ne donneraient pas à l'État sa part, une part pour laquelle l'État n'a fait aucune contribution. Tout est fait à contre-sens de la façon dont cela devrait vraiment être fait.Au lieu de rendre les gouvernements et les banques inutiles, au lieu d'éliminer l'intermédiaire de l'équation, les actions des gens ont renforcé ces entités. Et maintenant, ces entités ripostent, opprimant encore plus les gens. Tous les exchangers collectent les données des utilisateurs afin de les préparer pour les autorités. Les bitcoiners sourient aux plates-formes d'échange de cryptomonnaies – personne ne sait pourquoi – et leur offrent gratuitement et de leur plein gré. Pour s'assurer qu'ils redeviendront des esclaves, les utilisateurs associent également leurs comptes d'échange à leurs comptes bancaires, ce qui permet aux banques de geler leurs fonds à volonté et de communiquer leurs données aux autorités. Ensuite, beaucoup obtiennent un peu de monnaie fiduciaire grâce à leurs activités cryptos et, sans connaître les lois très complexes, ils deviennent des cibles faciles pour les autorités.
Cependant, je pense qu'une limite mettra fin à tout cela. À toutes ces utilisations incorrectes du bitcoin, à toutes les extorsions gouvernementales et bancaires, à tous les abus des exchangers de cryptomonnaies. Et cette limite sera atteinte lorsque suffisamment de personnes auront souffert de leur excès de cupidité, de leur naïveté, de leur stupidité. Quand suffisamment d'entre eux auront un casier judiciaire et quand suffisamment d'entre eux devront faire de la prison. Seule une souffrance drastique pourra ouvrir les yeux des gens. Lorsque cela se produira, les bitcoiners cesseront enfin d'utiliser les plateformes d'échange centralisées. Ils cesseront de détenir sur des comptes bancaires les revenus en monnaie fiduciaire qu'ils tirent de leurs activités dans le domaine des cryptomonnaies. Certains éviteront même d'utiliser la monnaie fiduciaire. Si tout cela se produit, les individus commenceront enfin à utiliser le bitcoin comme Satoshi l'a créé : pour leur propre bénéfice, pour rendre les gouvernements et les banques obsolètes, pour éliminer tout intermédiaire, pour anonymiser leurs transactions financières, pour être leurs propres banquiers, pour posséder leurs clés privées au lieu d'autoriser des tiers à les détenir. Et lorsque cela se produira, toute l'oppression antérieure imposée par les gouvernements se retournera contre eux. Ils ne pourront plus attraper d'autres victimes, car leurs anciennes victimes sauront désormais comment se protéger et comment utiliser correctement Bitcoin. Quand cela arrivera, la proie deviendra le chasseur.Je ne sais pas combien de temps s'écoulera avant que tout cela ne devienne réalité. Mais j'ai le sentiment que, tôt ou tard, les gens se rendront compte qu'ils ont assez souffert et qu'ils diront : "Assez !". Ils ouvriront les yeux et comprendront comment utiliser Bitcoin. Non pas pour le bénéfice de l'État, mais pour leur propre bénéfice ! |
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Auteur : GazetaBitcoinTexte original : A Declaration of the Independence of Cyberspace - We all should read it
Ce topic est la suite de mes sujets précédents-- Le Manifeste Crypto-anarchiste - Nous devrions tous le lire et L'appel pour Julian Assange || Le Manifeste de WikiLeaks - Nous devrions le lire.
Un autre article que se doit de lire tout bitcoiner, libertaire ou crypto-anarchiste est la Déclaration d'Indépendance du Cyberespace de John Perry Barlow. Cet essai a été rédigé en février 1996 par John Perry Barlow, cofondateur de l'Electronic Frontier Foundation, une fondation créée pour défendre les libertés sur Internet. Une autre figure emblématique de l'EFF est John Gilmore. La déclaration de Barlow est une réponse à la loi sur les télécommunications de 1996, adoptée par les États-Unis en janvier 1996. L'ensemble du document nie la souveraineté du gouvernement sur le cyberespace, nie le droit du gouvernement d'y être présent et nie le droit du gouvernement de gouverner les citoyens du cyberespace. Le document est rapidement devenu très populaire, étant copié et distribué par plus de 40 000 sites web. L'intégralité de la déclaration peut être consultée ci-dessous (la mise en forme du texte est de mon initiative) : "Gouvernements du monde industriel, géants fatigués de chair et d'acier, je viens du Cyberespace, la nouvelle patrie de l'esprit. Au nom de l'avenir, je vous demande, à vous du passé, de nous laisser en paix. Vous n'êtes pas les bienvenus parmi nous. Vous n'avez aucune souveraineté là où nous nous réunissons.
Nous n'avons pas de gouvernement élu, et nous ne sommes pas près d'en avoir un, je m'adresse à vous sans plus d'autorité que celle avec laquelle la liberté elle-même s'exprime toujours. Je déclare que l'espace social mondial que nous construisons est naturellement indépendant des tyrannies que vous cherchez à nous imposer. Vous n'avez aucun droit moral de nous gouverner et vous ne disposez pas non plus de méthodes de contrôle que nous avons de véritables raisons de craindre.
Les gouvernements tirent leurs pouvoirs légitimes du consentement des gouvernés. Vous n'avez ni sollicité ni reçu le nôtre. Nous ne vous avons pas invités. Vous ne nous connaissez pas et vous ne connaissez pas notre monde non plus. Le cyberespace ne se trouve pas à l'intérieur de vos frontières. Ne pensez pas non plus que vous pouvez les construire, comme s'il s'agissait d'un projet de construction publique. Ce n'est pas possible. Il s'agit d'un acte de la nature qui se développe grâce à nos actions collectives.
Vous n'avez pas participé à notre grande conversation, ni créé la richesse de nos plateformes de commerce. Vous ne connaissez pas notre culture, notre éthique, ni les codes non écrits qui donnent déjà à notre société plus d'ordre qu'elle n'en recevrait par l'une ou l'autre de vos interventions.
Vous prétendez qu'il y a des problèmes parmi nous que vous devriez résoudre. Vous vous servez de cette affirmation comme d'une excuse pour envahir nos espaces. Beaucoup de ces problèmes n'existent pas. Là où il y a des conflits réels, là où il y a des torts, nous les identifierons et les traiterons par nos propres moyens. Nous formons notre propre Contrat social. Cette gouvernance s'établira en fonction des conditions de notre monde, pas du vôtre. Notre monde est différent.
Le cyberespace est constitué de transactions, de relations et de la pensée elle-même, disposée comme une onde dans le réseau de nos communications. Notre monde est à la fois partout et nulle part, mais ce n'est pas là que vivent les corps.
Nous créons un monde dans lequel tous peuvent entrer sans privilèges ni préjugés liés à la race, à la puissance économique, à la force militaire ou à leur lieu de naissance.
Nous créons un monde où n'importe qui, n'importe où, peut exprimer ses convictions, aussi singulières soient-elles, sans craindre d'être contraint au silence ou au conformisme.
Vos concepts juridiques de propriété, d'expression, d'identité, de mouvement ne s'appliquent pas à nous. Tous sont basés sur la matière, et il n'y a pas de matière ici.
Nos identités n'ont pas de corps, donc, contrairement à vous, nous ne pouvons pas obtenir l'ordre par la coercition physique. Nous pensons que c'est de l'éthique, de l'intérêt personnel avisé et du bien commun que naîtra notre gouvernance. Nos identités peuvent être réparties entre plusieurs de vos juridictions. La seule loi que toutes les cultures qui nous composent reconnaissent généralement est la règle d'or. Nous espérons pouvoir élaborer nos solutions particulières sur cette base. Mais nous ne pouvons accepter les solutions que vous tentez d'imposer.
Aux États-Unis d'Amérique, vous avez aujourd'hui créé une loi, le Telecommunications Reform Act, qui répudie votre propre Constitution et insulte les rêves de Jefferson, Washington, Mill, Madison, DeToqueville et Brandeis. Ces rêves doivent maintenant renaître en nous.
Vous êtes terrifiés par vos propres enfants, car ils sont des autochtones dans un monde où vous serez toujours des immigrés. Parce que vous les craignez, vous confiez à vos bureaucraties les responsabilités parentales que vous êtes trop lâches pour affronter vous-mêmes. Dans notre monde, tous les sentiments et expressions de l'humanité, de l'avilissement à l'angélisme, font partie d'un tout homogène, la conversation globale des bits. Nous ne pouvons pas séparer l'air qui étouffe de l'air sur lequel battent les ailes.
En Chine, en Allemagne, en France, en Russie, à Singapour, en Italie et aux États-Unis, vous essayez de conjurer le virus de la liberté en érigeant des postes de garde aux frontières du cyberespace. Ces postes peuvent empêcher la contagion pendant un certain temps, mais ils ne fonctionneront pas dans un monde qui sera bientôt recouvert de médias porteurs de bits.
Vos industries de l'information, de plus en plus obsolètes, se perpétueraient en proposant des lois, en Amérique et ailleurs, qui prétendent s'approprier la parole elle-même dans le monde entier. Ces lois déclareraient que les idées sont un autre produit industriel, pas plus noble que la fonte. Dans notre monde, tout ce que l'esprit humain peut créer peut être reproduit et distribué à l'infini sans aucun coût. La transmission globale de la pensée n'a plus besoin de vos usines pour s'accomplir.
Ces mesures de plus en plus hostiles et coloniales nous placent dans la même situation que les anciens amoureux de la liberté et de l'autodétermination qui ont dû rejeter les autorités de puissances lointaines et mal informées. Nous devons déclarer nos identités virtuelles insensibles à votre souveraineté, même si nous continuons à consentir à votre domination sur nos corps. Nous nous répandrons sur la planète pour que nul ne puisse arrêter nos pensées.
Nous allons créer une civilisation de l'esprit dans le cyberespace. Puisse-t-elle être plus humaine et plus juste que le monde que vos gouvernements ont créé auparavant." |
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Auteur : GazetaBitcoinTexte original : The call for Julian Assange || The WikiLeaks Manifesto - We all should read it
Nombreux sont ceux qui ont entendu parler du nom de Julian Assange, mais rares sont ceux qui savent vraiment qui il est, ce qu'il a fait ou ce qu'il fait maintenant. Au sein de ces derniers, encore moins savent pourquoi il est une figure emblématique de l'espace crypto. Ce sujet est un appel à l'aide, c'est pourquoi je l'ai posté dans la rubrique Beginners & Help du forum. C'est un appel à l'aide pour Julian ! J'avais prévu d'écrire ce sujet depuis un certain temps, mais pour diverses raisons (la plus importante étant le manque de temps), je l'ai repoussé. Cependant, encore un autre récent discrédit venant de la presse (d'une manière ou d'une autre) m'a motivé à écrire ce sujet. La raison n'est pas si importante. Ce qui est important, c'est que Julian a besoin d'aide.
La dernière phrase de ce sujet est une mise en garde : " Nous devons tous poursuivre le travail des Cypherpunks et lutter pour la liberté !". Le groupe des Cypherpunks est né en 1992 grâce à la contribution d'Eric Hughes, l'auteur du " Manifeste Cypherpunk", John Gilmore et Timothy May, l’auteur du " Manifeste Crypto-anarchiste". Lors d'une ancienne réunion dans le bureau de Gilmore, une mailing list est née, sous le nom de mailing list Cypherpunks. Au fil du temps, d'autres ont rejoint le combat des Cypherpunks contre la surveillance des citoyens par l'État. Ils ont fini par atteindre un nombre de plus de 1000 contributeurs. Julian Assange a fait partie du groupe entre 1995 et 2002. Son esprit brillant était facilement remarqué par les autres. Si May, Hughes ou Gilmore s'étaient davantage concentrés sur les "algorithmes pour le peuple", sur l'argent numérique et sur l'accès du public à la cryptographie (à une époque où la NSA luttait de toutes ses forces contre cela), Assange avait un principe différent : “ La liberté d'information est une valeur libérale qui se respecte”. Le manifeste de WikiLeaks, un document moins connu, malheureusement, contient d'autres paroles de sagesse de Julian : " Seule l'injustice révélée peut trouver une réponse ; pour que l'Homme puisse faire quelque chose d'intelligent, il doit savoir ce qu'il se passe réellement.". Depuis l'apparition de la presse à imprimer de Gutenberg en 1448, qui a conduit à la révolution de l'imprimerie, le pouvoir des élites sur les documents classifiés n'a cessé de diminuer. Il s'agissait de l'une des premières formes de décentralisation de l'information. Julian Assange a franchi une nouvelle étape.Et cela s'est produit après le lancement de WikiLeaks, en 2006. "J'ai grandi avec l'idée que le monde dans lequel je vivais était un monde où les gens jouissaient d'une sorte de liberté de communiquer les uns avec les autres en toute confidentialité, sans que cela soit surveillé, sans que cela soit mesuré, analysé ou jugé par des systèmes de l'ombre, chaque fois qu'ils mentionnent quelque chose qui voyage à travers les lignes publiques." - Edward Snowden Partageant une pensée similaire avec Snowden ; et même plus encore : essayant de l'aider en lui recommandant où s'installer et où ne pas s'installer dans sa nouvelle vie après avoir trahi le gouvernement ; Assange a publié des milliers d'informations classifiées provenant de toutes les régions du monde. Et son lien avec Bitcoin ?, demanderont certains. Après que le gouvernement américain a mis en place un blocus financier sur les comptes de WikiLeaks, Julian a pris conscience du potentiel de Bitcoin et avait décidé d'accepter la nouvelle cryptomonnaie pour recevoir des dons. L'idée a mis le feu aux poudres sur BitcoinTalk à l'époque : "Allez-y, faites-le !”, a fait valoir RHorning. Cependant, poursuit Assange, ""Satoshi Nakamoto,” le pseudonyme inventeur de Bitcoin, a répondu : “Non, ne le faites pas". Le projet doit se développer progressivement afin que le logiciel puisse être renforcé en cours de route. Je lance cet appel à WikiLeaks pour qu'il n'essaie pas d'utiliser Bitcoin. Bitcoin est une petite communauté bêta qui n'en est qu'à ses débuts. Vous n'obtiendriez pas plus que de la menue monnaie, et la pression que vous apporteriez risquerait de nous détruire à ce stade.” […] Six jours plus tard, le 12 décembre 2010, Satoshi a disparu de la communauté Bitcoin, mais pas avant d'avoir posté ce message : “Il aurait été si bien d'obtenir cette attention dans un autre contexte. WikiLeaks a donné un coup de pied dans le nid de frelons et l'essaim se dirige vers nous.”". En signe de profond respect pour Satoshi et pour son travail, comme Assange l'a également déclaré (dans le lien mentionné précédemment), " WikiLeaks a lu et approuvé l'analyse de Satoshi, et a décidé de reporter le lancement d'un canal de dons en Bitcoin jusqu'à ce que ce soit mieux établi. L'adresse de don en bitcoins de WikiLeaks a été lancée après le premier grand essor de la monnaie, le 14 juin 2011.". Un signe de respect qui est un rara avis de nos jours. Mais l'appui de Julian sur Bitcoin n'a certainement pas aidé uniquement WikiLeaks : il a également permis à Bitcoin de devenir plus populaire ; il a sensibilisé les gens à la création de Satoshi ; il a amené de plus en plus de personnes sur la voie tracée par Satoshi. Ce qui est arrivé ensuite est mieux connu que l'histoire mentionnée ci-dessus. Le gouvernement américain a commencé à traquer Assange en 2011, et en réponse, Julian a réussi à s'en sortir en demandant l'asile à l'ambassade équatorienne de Londres. Sa demande a été acceptée en 2012. Cependant, son séjour à l'ambassade n'a pas été facile - entre autres, il n'a jamais mis un pied hors de l'ambassade jusqu'en 2019( !), vivant presque comme un détenu. Entre une accusation fabriquée de harcèlement sexuel, qui a été abandonnée après des années par le gouvernement suédois, et son travail continu pour WikiLeaks, Assange a également essayé de garder la tête haute et de faire de son mieux pour éviter l'extradition vers les États-Unis, tout en étant bien conscient qu'échouer signifierait sinon une peine de mort, ou au moins 175 ans derrière les barreaux. Malheureusement, en 2019, l'Équateur a mis fin à son asile, pour des raisons plus ou moins ridicules, mais il est presque clair que la décision a été imposée d'une manière ou d'une autre par d'autres agences secrètes ou par d'autres gouvernements. Au moment où j'écris ces lignes, le procès d'extradition de Julian a commencé. Pendant le procès, il reste en prison. Comme je le disais récemment, dans un topic précédent, La lutte pour la liberté d'expression, la protection de la vie privée et le fait de rendre les gouvernements non pertinents a commencé il y a longtemps. Elle est désormais entre nos mains. Il est également de notre ressort d'aider Julian. Et l'aider, c'est aider la liberté d'information !Je ne vais pas dire comment apporter cette aide. Je suis sûr que tout le monde le sait ou, du moins, a une intuition à ce sujet. Il y a un temps pour les débats et un temps pour l'action. Le débat est mort aujourd'hui.
Notes complémentaires :Je recommande également les lectures suivantes : - Nils Melzer's Le procès de Julian Assange : une histoire de persécution - L'histoire choquante de la persécution judiciaire du fondateur de Wikileaks, Julian Assange, et ses implications dangereuses pour les lanceurs d'alerte de demain. - Le chef-d’œuvre de Robert Manne, Julian Assange, le révolutionnaire cypherpunk- L'homme le plus dangereux du monde : l'histoire cachée de Julian Assange et de WikiLeaks, écrit par Andrew Fowler - Cypherpunks : liberté et avenir d'internet, par Julian Assange. Le livre est une discussion entre Julian, Jacob Appelbaum (développeur Tor) et Jérémie Zimmermann (co-fondateur de La Quadrature du Net). - Underground, de Suelette Dreyfus & Julian Assange. Il s'agit d'un livre fascinant sur la montée en puissance des hackers et des phreakers australiens dans les années 1980, notamment sur les premières activités de Julian Assange qui, à l'époque, était connu sous le nom de Mendax- Quand Google rencontre WikiLeaks, par Julian Assange - Autobiographie non autorisée, par Julian Assange. Par ailleurs, les films suivants font partie de la catégorie à voir absolument : Ithaka - un documentaire montrant la lutte de Julian pour éviter l'extradition vers les USA Mediastan: A Wikileaks Road Movie - un documentaire de WikiLeaks - film complet Risk - un documentaire sur WikiLeaks, réalisé par Laura Poitras (une amie de Julian Assange) - film complet The Fifth Estate - un bon film sur WikiLeaks We Steal Secrets: The Story of WikiLeaks - un autre documentaire sur WikiLeaks Underground: The Julian Assange Story - un autre film sur Julian, décrivant le début de sa carrière. |
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Don't you see your external HDD in /media when you are selecting a folder in Bitcoin Core?
Otherwise you can use lsblk to try to find the exact path.
If you copy paste or write the exact path in Bitcoin Core, it should be fine normally.
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My questions. When adding the asic’s do I just add them with the same btc address or should I follow the add many machines in the instructions? Does it matter if they are mining 4 @ 134th or as one @ 536th? I’ve been mining for one month so I’m new to this.
As you prefer. Same results in terms of mining. 4 x 134 th will give you more details on the pool page, you will know what have done which ASIC with precision. But the luck and probability to find a block will be the same. You can use the same BTC address of course. You can add a worker name with "BTCaddress.workername" or "BTCaddress_workername". And you can, of course, just use "BTCaddress" with your 4 ASICs, the only negative side would be to track their bestshare and shares individually but that's all. |
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Interesting topic! However, this map was not updated since January 2022, and data are now wrong. |
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Merci beaucoup pour ces explications détaillées ! J'ai une question concernant la consolidation des payouts : à quelle fréquence recommandez-vous de le faire pour éviter les problèmes de synchronisation du wallet ? Y a-t-il un seuil de montant ou de transactions à ne pas dépasser pour optimiser ce processus ?
À ma connaissance il n'y a pas de règles définies, perso je le fais dès que la mempool se vide et que les fees sont basses pour BTC. Pour les blockchains moins coûteuses, je le fais toutes les 15-20 transactions entrantes en général. Ils en ont un peu discuté en section anglophone ici : https://bitcointalk.org/index.php?topic=2848987.0 |
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Thanks for the alarm sokani, it's worrying that the fake telegram has got a lot of users, 12k+ members/subscribers that's misleading people from the real [banned mixer] website to their fake and scam website. They got 3.9k views with their most recent post there and I just hope that telegram will review the channel and have it removed already based on the reports that it receives and hoping they're not slow as what Google does with their reports.
I'm not sure, but I imagine most of these groups buy followers to look legit. For sure, the more reports we send, the faster it will be handled. This usually takes between 5 and 15 days to be processed by Telegram. |
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Bitcoin Magazine ( https://bitcoinmagazine.com) produces excellent articles, for all kinds of readers, and the news published are in general verified and reliable. Otherwise, there's CoinMarketCap, which belongs to Binance, so if you want to read the point of view of a major player in the sector, it's interesting. Whatever the site, I always try to find 2 or 3 sources for my information, especially when it comes to BTC and cryptocurrencies. On the other hand, I have to admit that I avoid Youtube like the plague, I've heard nothing but bullshit when it comes to crypto news. I'm not talking about conferences but only about Youtubers whose business is to analyze the market while it's hot, there's nothing worse... |
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What is the RUI in the US for such a machine, based on the cost of the machine and energy?
Do you mean ROI? If yes, you can check through this website : https://whattomine.com/miners/170-bitmain-antminer-s19-xp?cost=0.1&cost_currency=USD&sort=profit24_descYou can change the price of the kw/h as you want, the link (above shows the profit with a 0.1usd per kw/h by default.) With the current market price, it would take nearly 3 years to hit ROI at 0.1usd per kw/h. But the halving is coming soon (approx. 180 days from today) and the difficulty changes too, so I never expected this kind of "ROI previsions" to be true. |
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Another milestone:
Congrats fillippone! I hope you celebrated this great achievement by opening a good bottle of wine: 
I finally passed the symbolic threshold of 1000 earned merits. It took me a long time, it's been almost 1 year since I started being really active here. In any case, there's still a long way to go to reach these high milestones of 5-10k merits!  |
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So 0.001 BTC is the minimum bid to get a spot in the block party? Nope : ~15-18 users for each 0.005 BTC, 0.01 BTC or more BTC can participate There were something mentioned that participation rules might change where someone might be able to take up someone else's spot that was already paid?
I've participated in many block parties, and as I saw, a paid spot is a paid spot. You can't lose yours. What happens when no block is found, is there no reward?
Nothing. It is like a lost bet. |
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